Présentation

Enseignante : Simona NICULESCU

Objectifs du cours :

L’objectif essentiel de ce cours est d’analyser la géopolitique de l’énergie de l’Europe en approfondissant le nouveau schéma géopolitique européen à l’échelle de différents ensembles régionaux et dynamiques contemporaines. On retient aussi d’autres grands défis géopolitiques : la dépendance énergétique de l’UE ; la gestion des relations avec les pays producteurs de pétrole et gaz naturel (la Russie, le Moyen Orient, l’Afrique du Nord et de l’Ouest, l’Amérique du Sud). La géopolitique d’autres types d’énergies est abordée : des énergies renouvelables, les schistes bitumineux, l’énergie nucléaire.

Approche proposée :

L’approche de la stratégie et de la géopolitique des ressources énergétiques fossiles sont au cœur de ce cours ; plusieurs points de vue sont présentés - géohistorique, politique et économique.

Pré-requis nécessaire :

Aucun prérequis n’est nécessaire pour suivre cet enseignement. Une connaissance de base des principales notions de géopolitique serait un avantage.

Lecture obligatoire :

Géopolitique de l’énergie, Le monde Diplomatique, juin 2022. Compétences visées :

• Identifier, sur les plans spatial, social, économique et culturel, les grands enjeux
• Caractériser l'organisation, le fonctionnement et l'interaction de l'environnement et des sociétés à différentes échelles.
• Mettre en œuvre les éléments relatifs à la conception, la planification et la programmation liés à une action d’aménagement.
• Mobiliser les modèles théoriques et méthodologiques propres à la discipline, mobiliser des connaissances statistiques, bibliographiques et
• Respecter les principes d’éthique, de déontologie et de responsabilité environnementale
• Utiliser les outils numériques de référence et les règles de sécurité informatique pour acquérir, traiter, produire et diffuser de l’information ainsi que pour collaborer en interne et en externe.

Comment le cours s’articule-t-il :

Cet enseignement s’inscrit dans la suite du cours de l’UE Mondialisation, Globalisation.